Cellule de travail sur la transition socio-écologique
Depuis plusieurs mois, des travaux sont en cours concernant la création d’une cellule de travail dédiée aux enjeux de la transition socio-écologique.
Depuis plusieurs mois, des travaux sont en cours concernant la création d’une cellule de travail dédiée aux enjeux de la transition socio-écologique.
Devant l’urgence de la crise climatique que nous vivons, les actrices et les acteurs du développement social expriment leur besoin de comprendre leur place au sein de la transition écologique. Comment être solidaire et se mobiliser pour une transition juste et équitable? Comment joindre nos luttes environnementales et sociales?
Plusieurs actrices et acteurs du développement social (des organismes communautaires, culturels, d’économie sociale, des institutions, des concertations) ont déjà répondu favorablement à cet appel.
Vous aimeriez en apprendre davantage sur cette initiative et y contribuer? N’hésitez pas à écrire à Pierre-Luc Baril, à l’adresse courriel suivante :
« Réaliser la transition, ce n’est pas seulement réduire les gaz à effets de serre de façon efficace. Nous croyons que ça passe aussi par la construction d’une société plus solidaire et démocratique. C’est pour ça que nous parlons de transition socioécologique. Une transition qui valorise le partage du pouvoir et qui propose un nouveau modèle économique. »
— « Réaliser la transition socioécologique », Site web de l’organisme Solon.
« La transition écologique et sociale est un processus qui mène à un changement des modes de production, de consommation, de vie vers un partage des pouvoirs et de la richesse plus équitable. Plus largement, la transition vise une transformation du modèle de développement en construisant une société plus respectueuse, écologiquement durable, socialement équitable et économiquement viable. »
— « Transfert et transition écologique et sociale », Table ronde organisée par le TIESS, 2017.
« La transition est un changement radical des systèmes politiques, économiques, technologiques et culturels pour rendre les modes de développement plus cohérents avec les limites planétaires et humaines. »
— Olivier Riffon, professeur en éco-conseil, Université du Québec à Chicoutimi.